Tout refaire du sol au plafond ou garder l'essentiel puis procéder par retouches successives ? Honda a choisi la seconde solution à l'heure de renouveler le CR-V, et le résultat est probant, à la conduite plus particulièrement. Il ne s'agit plus, dans les faits, du même engin tout juste amélioré, comme en témoigne cet essai de la variante emmenée par le diesel 2.2 de 150 ch.
Par Jean Bourquin
Même plateforme, mêmes moteurs, même gabarit, à quelques millimètres près, même apparence physique dans les grands traits, en passant d'une génération à l'autre... Voilà pour les faits quand on les expose sans prendre la peine de rentrer dans les détails. Nous pourrions nous arrêter là, et nous contenter de passer en revue la gamme du nouveau Honda CR-V comme nous le faisons plus bas, mais non, ce n'est pas comme cela que cela se danse. Justement, il faut rentrer dans les détails, lesquels s'accumulent au point de transformer le CR-V certes en douceur mais de manière significative. En clair, nous ne parlons pas « du même, en mieux », selon une expression usée jusqu'à la corde dans le milieu de la presse automobile. « En mieux », ça, c'est certain, mais il n'est plus vraiment question « du même ». Explication de texte...
Le fait est, la démarche conservatrice du constructeur, indéniable, supporte quelques sérieuses entorses. Témoin phare, l'apparence physique du nouveau venu, qui ne garde de son prédécesseur que la silhouette générale et quelques traits propres à ce modèle, comme les feux verticaux encadrant la lunette arrière. On appelle ça une « signature visuelle ». Le reste lui appartient, à commencer par une face avant d'un seul bloc aussi massive qu'expressive, et le tout donne à ce SUV une prestance, et même un arrière-goût « premium », qu'il n'avait pas auparavant. Ou dans une mesure moindre, plus exactement. C'est l'effet recherché.
Dans sa constitution, en revanche, le CR-V n'évolue quasiment pas. Ses dimensions restent les mêmes à peu de choses près, la remarque valant pour l'empattement – voir la fiche technique ci-dessous pour les données précises -, et ce faisant, il intègre toujours cette catégorie de SUV mal définie, celle qui se situe entre deux eaux. Entre les « compacts » clairement identifiés en tant que tels, à l'image du Volkswagen Tiguan pour ne citer que celui-là, et les « familiaux » plus imposants, notamment représentés par le Hyundai Santa Fe. Jusqu'à présent, ce positionnement inconfortable apparaissait comme un handicap, la clientèle préférant des véhicules soi plus petits soi plus gros avec à la clef la possibilité d'embarquer sept places, mais le franc succès du Mazda CX-5, à peine moins long que le CR-V, prouve le contraire. Comme quoi il y a de la place pour le SUV siglé Honda, contrairement à ce que prédisent bon nombre de commentateurs de la chose automobile, qui l'expédient dans les tréfonds du marché avant même qu'il ne débute sa carrière. Pour notre part, nous nous montrerons plus prudents. Le nouveau CR-V a les armes pour se battre, et la gamme nettement plus large que la précédente peut bien faire la différence – voir ci-dessous.
Ce statu-quo, à l'item « dimensions » s'entend, agit en trompe-l'oeil. En d'autres termes, Honda n'allonge pas l'empattement, mais avance en revanche le pare-brise, de 6 cm, lequel est par ailleurs plus incliné, une manière comme une autre d'accroître le volume habitable de la voiture. C'est réussi. Le CR-V est spacieux, dans des proportions généreuses, tant à l'avant qu'à l'arrière. A cet endroit, l'espace accordé aux jambes des passagers n'est pas compté, raison pour laquelle le constructeur n'a pas estimé utile de reconduire la banquette coulissante présente à bord de la précédente mouture. Ladite banquette se compose de deux places latérales bien formées, et celle du milieu est suffisamment large pour accueillir un troisième passager dans des conditions acceptables, la plancher totalement plat aidant. Et pour terminer, l'article se rabat en un seul geste pour libérer une surface de chargement elle aussi toute plate. Bien pensé, bien fait et sans bavure.
Mieux encore, le CR-V présente un parfait équilibre entre volume habitable et volume de chargement, lequel atteint 589 litres. C'est juste énorme, et même si les passages de roues ne sont pas « carénés », la surface dédiée, rectangulaire, demeure exploitable dans sa totalité. Le seuil de chargement est bas, l'ouverture large, et le hayon fonctionne à l'électricité si l'on opte pour les finitions les plus hautes en gamme. Honda complète ce sens pratique poussé par toute une série de rangements disséminés dans l'habitacle, et l'ensemble additionné donne un SUV apte à rendre bien des services. Plus que d'autres.
Le conducteur doit quant à lui composer avec un siège moelleux juste comme il faut mais dont le dossier est un poil trop large, d'où un relatif manque de maintien, et l'assise un poil trop courte. A cette remarque près, il peut ajuster sa position à son souhait, l'amplitude des divers réglages lui simplifiant la tache. Simple, à la limite du sommaire, l'instrumentation ne lui donnera pas la migraine, l'usage des commandes courantes – installation audio, climatisation, réglages divers – ne lui imposera pas des gestes périlleux tant elles sont faciles d'accès et le maniement du levier de vitesses, placé en hauteur, ne lui luxera pas l'épaule. S'il souhaite utiliser un jour l'un des innombrables boutons qui occupent le volant, il lui faudra, en revanche, consulter le mode d'emploi avant usage – à l'exception des commandes audio et du régulateur de vitesse, pour être honnête. De même aura-t-il sous les yeux deux écrans placés l'un au-dessus de l'autre – un petit et un grand – s'il acquiert l'une des versions équipées du GPS, dites « Navi ». Toutes choses qui, au bout du compte, relèvent de l'anecdote. L'omniprésence de matériaux rigides, certes d'aspect plutôt engageant, appelle moins d'indulgence. Cela ne se fait plus à ce niveau de gamme et de prix, et c'est donc une faute, même si la qualité de fabrication de l'ensemble demeure irréprochable.
Pour la partie technique de l'affaire, Honda s'est essentiellement employé à diminuer sensiblement la consommation de son SUV, sans pour autant réduire son poids. D'une génération à l'autre, le CR-V animé par le diesel 2.2 i-DTEC de 150 ch perd une dizaine de kilos, et dans le même temps sa consommation en cycle mixte passe de 6,5 à 5,6 l/100 km – avec la boîte mécanique et sur les versions montées en 17 pouces -, ce qui n'est pas rien. Pour notre part, nous avons relevé sur l'ordinateur de bord une consommation moyenne de 6,5 l/100 km, justement, après un parcours comprenant une traversée des Pyrénées via des petites routes de montagne sinueuses à souhait suivies, en Espagne, de quatre-voies roulantes pour terminer sur les pistes du désert des Bardenas. C'est un résultat flatteur pour un SUV de cette carrure.
Les raisons de ce miracle ? Réponses, un travail porté sur le moteur lui-même – réduction des frottements, grosso modo -, une aérodynamique plus soignée qui comprend un carénage des soubassements et un toit à la fois plus bas et plus long – à l'intérieur, sièges et banquette ont été abaissés pour préserver une bonne garde au toit – et une assistance de direction désormais électrique. Sans oublier l'essentiel, à savoir un nouvelle transmission intégrale moins énergivore que la précédente. Dans les faits, la pompe hydraulique à double action qui jusqu'alors permettait d'envoyer une partie de la force motrice vers les roues arrière, via un différentiel central multidisques, est remplacée par un dispositif entièrement électronique, lequel met largement à contribution l'ESP, alias VSA chez Honda. Les gains de l'opération se résument à moins de frottements, là encore, un poids moindre, des temps de réaction encore plus brefs et la possibilité de transférer la totalité du couple sur le seul train arrière, ce qui n'était pas le cas auparavant. Tout bénef, donc.
Armé de cette transmission et sur les pistes en terre susmentionnées, le CR-V nous a proprement bluffé. Par son équilibre jamais pris en défaut, essentiellement, le train arrière manifestant un sens aigu de la discipline. Pour le faire dériver, celui-là, il faut vraiment le vouloir – nous n'avons pas essayé... Moralité, l'ensemble ne se désunit pas sur les surfaces précaires, les deux trains roulants oeuvrent de concert et l'engin garde ainsi toute sa précision. Dans ces circonstances, le CR-V rassure et met en confiance son conducteur, les remontées dans la direction restant en sus à peine perceptibles. C'est un « pistard-né », avis aux amateurs, et tout indique qu'il devrait être à son affaire sur la neige. Le « franchissement », même light, en revanche, ce n'est pas son truc. Une garde au sol réduite à 16,5 cm limite en effet l'exercice. Autant le savoir.
Une garde au sol pas trop haute a aussi son avantage. Le constructeur ne se sent pas obligé, entre autres, de couler du béton armé dans les amortisseurs pour garantir une tenue de route sans histoire et juguler tant que faire se peut les mouvements de caisse. Dit autrement, la suspension du CR-V n'est ni trop ferme ni trop souple, elle offre un compromis idéal entre précision de conduite et confort de roulage. Nous n'irons pas jusqu'à dire que ce SUV vire à plat, mais c'est dans l'idée, et la direction serrée à la clef à molette en son point milieu, lègère mais jamais inconsistante, ne fait pas tache dans le décor. Sans se montrer à proprement parler agile, le CR-V n'est pas non plus un empoté, il ne prend pas de gite même à des allures déjà élevées, reste franc sur ses appuis, ne se met à légèrement sous-virer que lorsqu'on y va franco et semble ce faisant posé comme sur des rails. C'est un SUV très sympa à conduire, ces enthousiasmantes dispositions routières ne s'établissant pas au détriment du confort des passagers. Lesquels ne subissent pas la route même s'ils ne l'ignorent pas. Honda a fait du bon travail.
Le diesel, pour terminer. En fait, il n'y a pas grand-chose à dire. On le connaît, ce quatre-cylindres 2.2 désormais baptisé i-DTEC, on l'apprécie aussi, et même si Honda l'a retravaillé en profondeur dans le louable but de réduire sa consommation, il n'a rien perdu de ses bienheureuses facultés. Un fonctionnement onctueux, une disponibilité de tous les instants, une force contenue mais bien présente, pour résumer, toutes qualités auxquelles s'ajoute une insonorisation très soignée sur cette nouvelle mouture du CR-V. En bref, les 150 ch ne sont jamais à la peine et le gros couple de 350 Nm autorise des relances franches et nettes. Mieux encore, Honda n'a pas jugé bon d'allonger les deux derniers rapports de la boîte mécanique, comme cela se pratique de plus en plus ces derniers temps, et partant de là, l'ensemble moteur/boîte offre un confort de conduite de très haute tenue. La commande est, à ce propos, un peu lente mais bien guidée.
Reste la boîte automatique, qui ne retient que cinq rapports. Elle réagit à bon escient, sans se presser toutefois, et engage les rapports en douceur, elle est donc dans le ton et l'absence d'un sixième rapport ne pose dès lors guère de problèmes. Sauf, peut-être, au chapitre de la consommation, et plus précisément des émissions de CO2. Le surcroît de consommation provoqué reste, le fait est, raisonnable – 6,6 l/100 km en cycle mixte -, mais les 174 g/km, eux, se payeront cash à partir du 1er janvier 2013, avec l'entrée en vigueur du nouveau barême de bonus/malus – voir ci-dessous. D'une manière générale, et quelle que soit la transmission utilisée, le CR-V diesel n'échappe pas au malus, et le fait risque bien de lui jouer un sale tour dans un avenir proche. Espérons que non, car il ne le mérite pas.
LA FICHE TECHNIQUE
Honda CR-V 2.2 i-DTEC BVM 6
- Moteur : 4 cylindres turbo-diesel ; 2199 cm3
- Puissance : 150 ch à 4 000 tr/mn
- Couple : 350 Nm à 2 000 tr/mn
- Transmission : aux quatre roues
- Boîte de vitesses : mécanique à 6 rapports
- Longueur x largeur x hauteur : 4,57 x 1,82 x 1,69 m
- Empattement : 2,63 m
- Garde au sol : 16,5 cm
- Pneus : 225/65 R17 jusqu'à la finition Elegance Navi ; 225/60 R18 à partir de la finition Executive
- Coffre : 589 litres
- Poids à vide : 1 753 kg
- Vitesse maxi : 190 km/h
- 0 à 100 km/h : 9,7 sec.
- Stop/start : oui
- Conso. urbaine / extra-urbaine / mixte : 6,5 / 5,1 / 5,6 l/100 km jusqu'à la finition Elegance Navi ;
6,7 / 5,3 / 5,8 à partir de la finition Executive
- Emissions de CO2 : 149 g/km jusqu'à la finition Elegance Navi ; 154 g/km à partir de la finition Executive
Honda CR-V 2.2 i-DTEC BVA 5
- Boîte de vitesses : automatique à 5 rapports
- Poids : 1 806 kg
- 0 à 100 km/h : 10,6 sec.
- Stop/start : non
- Conso. urbaine /extra-urbaine / mixte : 8 / 5,7 / 6,6 l/100 km en finition Elegance Navi ;
8,2 / 6 / 6,8 à partir de la finition Executive
- Emissions de CO2 : 174 g/km en finition Elegance Navi ; 180 à partir de la finition Executive
LA GAMME
Avec deux motorisations, pas une de plus, on pouvait s'attendre à une gamme simple et réduite. Raté. Honda multiplie les finitions, jusqu'à huit en comptant les exécutions « Navi » - le GPS s'ajoute à la dotation de la finition concernée -, ce qui donne au final 18 versions du CR-V en intégrant la transmission 4x2 et la boîte automatique. De fait, Honda élargit ladite gamme vers le bas, dans le louable but de vendre son SUV à des prix d'attaque compétitifs. La gamme débute donc à 25 150 €, contre 28 700 € pour celle du précédent CR-V juste avant l'arrivée de son remplaçant. L'offre diesel, quant à elle, commence à 30 650 €, contre 34 250 € auparavant.
Ce constat fait, Honda offre un équipement fourni en finition d'entrée de gamme et franchement riche dès la seconde livrée, alias Elegance – caméra de recul de série, entre autres exemples -, laquelle suffit amplement au bonheur de tout un chacun. La suite appartient au monde du « premium », cette politique de dotation graduée ayant pour mérite de réduire la liste des options au strict minimum. La facture finale reste ainsi mesurée même quand on surcharge son CR-V d'équipements « grand luxe ». Bien vu.
Cette surcharge, puiqu'on en parle, a pour fâcheuse conséquence d'augmenter le poids de l'engin et par là même sa consommation et, surtout, ses émissions de CO2. Résultat, le CR-V diesel équipé de la boîte mécanique voit son malus passer de 200 à 500 € à partir de la finition Elegance Navi, et mieux vaut donc le savoir avant de signer le chèque. Et mieux vaut, aussi, acheter son CR-V avant le 31 décembre 2012, car avec le nouveau barême de bonus/malus que le gouvernement concocte en ce moment-même, l'affaire prendra une tournure beaucoup plus délicate dès le lendemain. Avec la boîte automatique, il faut même s'attendre à un sérieux coup de bambou. Toutes choses qui, à court terme, risquent d'être préjudiciables à la carrière du CR-V, surtout face à son rival déclaré qu'est le Mazda CX-5 diesel, lequel échappe à tout malus quand il ne recourt pas à la boîte automatique. Et cela devrait être encore le cas avec le nouveau barême, à vérifier quand celui-ci sera définitivement établi.
Cela étant, Honda a prévu le coup. Le constructeur n'en fait pas mystère, le CR-V héritera du tout nouveau diesel 1.6 i-DTEC de 120ch qui équipera sous peu la Civic, lequel moteur sera alors associé à la transmission 4x2. La donne ne sera ce faisant plus tout à fait la même pour le CR-V, étant précisé que ce diesel émet moins de 100 g/km sur la Civic en question – à l'essai dans nos colonnes dans le courant du mois de janvier. Affaire à suivre. En attendant, la transmission 4x2 n'est réservée qu'à la motorisation essence, avec la boîte mécanique uniquement. Malus de rigueur, cela va sans dire, mais les prix restent attractifs pour un engin de cette nature carburant au sans-plomb.
LES PRIX
Essence
2.0 i-VTEC 155 ch 4x2 ou 4x4
- 4x2 BVM 6 : 190 km/h ; stop/start : oui ; 7,2 l/100 km ; 168 g/km
Comfort : 25 150 € ; Elegance : 27 400 € ; Elegance Navi : 28 400 €. Malus : 750 €
- 4x4 BVA 5 : 175 k/mh, stop/start : non ; 7,5 l/100 km et 175 g/km en finition Elégance Navi ;
179 km/h, 7,7 l/100 km et 179 g/km pour les deux finitions suivantes
Elegance Navi : 32 900 € ; Executive Navi : 34 450 € ; Exclusive Navi : 36 850 €. Malus : 750 €
Diesel
2.2 i-DTEC 150 ch 4x4
- BVM 6 (voir ci-dessus)
Comfort : 30 650 € ; Elegance : 32 900 € ; Elegance Navi : 33 900 € ; Executive : 33 950 € ; Executive Navi : 35 450 € ; Exclusive Navi : 37 850 €.
Malus : 200 € jusqu'à la finition Elegance Navi ; 500 € à partir de la finition Executive.
- BVA 5 (voir ci-dessus)
Elegance Navi : 35 400 € ; Executive Navi : 36 950 € ; Exclusive Navi : 39 350 € ; Innova : 40 950 €.
Malus : 750 €.
LES PRINCIPAUX EQUIPEMENTS DE SERIE
Les équipements de sécurité communs à toute la gamme
ABS avec répartiteur électronique de freinage et assistance au freinage d'urgence ; 6 airbags ; antidérapage ESP (VSA chez Honda) ; assistance au démarrage en côte ; assistance au remorquage ; surveillance de la pression des pneus.
Comfort
Accoudoirs centraux AV/AR ; antenne « aileron de requin » ; banquette fractionnale 60/40 ; climatisation automatique bizone ; feux de jour à LED ; jantes alliage 17 pouces ; ordinateur de bord ; réglage lombaire du siège conducteur électrique ; régulateur-limiteur de vitesse ; sellerie tissu ; vitres électriques AV ; volant réglable en hauteur et profondeur.
Installation audio : autoradio-CD MP3, prises auxiliaire/USB, commandes au volant et 4 HP.
Elegance (en plus)
Alarme antivol ; allumage automatique des phares et des essuie-glace ; antibrouillards ; boîte à gants éclairée ; caméra de recul ; radars de parking AV/AR ; rétros rabattables électriquement ; rétro côté passager avec fonction recul ; rétro intérieur photosensible ; seuil de coffre en aluminium ; ventilation AR ; vitres électriques AR ; volant et pommeau du levier de vitesses gainés de cuir.
Installation audio : interface Bluetooth et 2 HP (6 au total).
Elegance Navi (en plus)
Navigateur GPS Europe à carte SD.
BVA : palettes de changement des rapports au volant ; système de retenue en descente.
Executive (en plus de Elegance - diesel uniquement)
Eclairage actif d'intersection ; éclairage d'ambiance au sol AV et dans les portes ; feux de route actifs ; jantes alliage 18 pouces ; rails de toit peints ; sièges chauffants ; siège passager réglable en hauteur ; phares bi-xénon avec lave-phares ; sellerie Alcantara/cuir ; vitres AR surteintées.
Installation audio : installation premium avec un subwoofer (7 HP au total)
Executive Navi (en plus)
Navigateur GPS Europe à disque dur interne ; prise vidéo auxiliaire.
BVA : idem Elegance Navi.
Exlusive Navi (en plus de Executive & Executive Navi)
Démarrage et déverouillage sans clef ; hayon électrique ; sellerie cuir ; siège conducteur électrique ; seuils de porte en aluminium ; toit en verre panoramique.
Innova (en plus – diesel et BVA uniquement)
Assistances à la conduite : assistance au maintien dans la voie de circulation ; régulateur de vitesse adaptatif ; système de prévention des collisions.
LES OPTIONS
Option commune à toute la gamme
Peinture métallisée : 600 €
A partir de Executive
Pack Optimum (sabots de protection en acier AV/AR, marchepieds et spoiler de toit) : 990 €
Pack Orion (jantes alliage 19 pouces) : 1 900 €
Packs Optimum + Orion : 2 890 €