17 février 2009
2
17
/02
/février
/2009
20:51
La mutine italienne, résurrection glamour de la 500 des années 50, et aussi contributrice de la résurrection de… Fiat, n’a pas fini de faire tourner les têtes. Bientôt, elle enlève le haut !
Celle qui s’était permis de tailler des croupières à la Mini, qui avait connu le succès que l’on sait dans la voie du style rétro-design, la Fiat 500 donc, ne pouvait pas faire autrement ! Sa plastique accorte ayant été largement plébiscitée, Miss Italie 2008 va enlever le haut, dès le printemps prochain…
Bon, elle s’est bien un peu fait prier, et a fait durer le plaisir avec un teasing soigneusement étudié pour faire monter la pression, en dévoilant successivement deux peties parties de son anatomie. Si ça ne s’appelle pas un effeuillage !
Mais ça y est, c’est fait : c’est promis, demain elle enlève le haut. Entendez par là : elle se déclinera en version découverte sous l’appellation 500C.
Comme son aïeule, qui a pris sa retraite il y a une quarantaine d’années, la « nuova » 500C ne sera pas un vrai cabriolet, mais plutôt une découvrable, avec une capote en toile qui coulissera très simplement le long des montants de toit. Il est prévu que la fermeture et l’ouverture de cette capote à lunette arrière en verre soit à commande électrique, modernité oblige, mais on ne sait si cet équipement sera de série sur toutes les versions.
Côté couleurs, la 500C poursuit son effort de personnalisation « à la carte » avec trois teintes de capote, rouge, noir ou ivoire, tandis que deux nouvelles teintes de carrosseries enrichissent une palette déjà très riche, avec un « gris chaud » et un « rouge perlé ».
Rien ne change côté motorisations, avec au menu le 1.2 essence de 69 ch, le 1.4 de 100 ch, et le 1.3 diesel Multijet de 75 ch.
Deux interrogations demeurent : la visibilité vers l’arrière quand la capote est repliée sur le cul de coffre, et les tarifs. Là, on espère qu’ils resteront très doux. On ne voudrait pas que Miss Italie ait les chevilles qui enflent et que le succès lui monte à la tête…